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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 16:57

 

THEATRE

 

Vendredi 10 février 2012 Salle Maurice Rodet

20h30

 

LE VENT DES PEUPLIERS

de G. Sibleyras

 

par la compagnie "La porte qui claque"

 

MISE EN SCENE :  Jean MAZOYER

COMEDIENS :  Jean-Claude AUDEMARD
               André GAST
               Jean MAZOYER

Durée :                   1     heure  35

Genre !     Comédie  Aigre-douce

 

Sur la terrasse d’un hospice d’anciens combattants, trois vieux discutent. Ils complotent. Entrent en résistance contre la Directrice, sœur Madeleine, contre l’enfermement, contre les nouveaux qui viennent prendre leur place. Contre eux-mêmes. Ils refusent la vieillesse, ils repoussent la mort. Veulent s’échapper sur la colline d’en face où se dressent des peupliers. Pathétique, émouvant, drôle et dérisoire. Les trois comédiens jouent leur rôle avec doigté. Simplicité, bouffonnerie parfois. Un zeste de mélancolie et d’ironie, romantisme et gravité. Ils campent sur scène comme des statues imposantes à l’entrée du pays de nos rêves. Parce que nous avons tous rêvé, un jour de partir pour aller vers d’autres contrées, s’envoler vers d’autres destins . Oiseaux migrateurs portés par le vent de la vie. Celui des peupliers…………………..

                            Guy DIEPPEDALLE
                           Architecte des mots éphémères

 

 

commentaires

 

Ce sont des anciens combattants, mais pas de vieilles badernes, des ratiocineurs tout au plus. Ils ont clos leur vie avant la guerre d’Indochine et ont renoncé au monde comme s’ils entraient en religion. Passe encore pour Fernand qui s’évanouit sans prévenir parce qu’un éclat d’obus se promène dans sa tête. Mais René ? Lui qui n’a plus qu’une jambe valide, « fait le tour de l’hospice en longeant le mur d’enceinte » et explore l’alentour, à la recherche des sourires des jeunes filles . Reste Gustave, lui est intraitable, « acariâtre, mauvais, désagréable, hargneux , atrabilaire », il n’a jamais eu peur de « mourir à la guerre », mais « l’idée de perdre ses cheveux l’anéantit. »
    Tous les trois réunis pourraient être des « dindons sinistres » que dénonce Gustave. Ils n’ont en réalité jamais été jeunes et les affirmations  qu’ils profèrent provoquent le rire . On devrait en pleurer, et c’est tout le contraire ! Ils sont attendrissants …………….
                            Danielle DUMAS
                    Rédactrice en chef  de l’Avant-scène théâtre

 

 

 

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 21:25

vendredi 13 Janvier 2012 à l'Eglise de Charols

 

Concert des frères Bouclier

 

Dimitri Bouclier à l'accordéon de concert

Julien Bouclier  au Violon. 

 

20h30, tarif : 10 euros, gratuit pour les -12 ans

 

image_027.jpg

Un duo exceptionnel !

Issus d'une famille de musiciens, Dimitri et Julien Bouclier s'imposent aujourd'hui comme de véritables virtuoses de leurs instruments.

Leurs parcours est, pour l'un comme pour l'autre, exceptionnel et leur palmarès brillant. 

Si violon et accordéon riment souvent avec musique de l'Est, ce duo transporte leur public vers des terres inconnues qui appelent le respect et invitent au voyage. Dimitri et Julien Bouclier impressionnent déjà par le lyrisme, la liberté, l'engagement et la simplicité des grands interprètes. Les oeuvres qu'ils nous font entendre sont arrangées par leur soin et nous permettent de découvrir l'accord parfait qui peut exister entre ces deux instruments.

 

Dimitri : lauréat de la Fondation Cziffra 2010

 

 

Le parcours de Dimitri Bouclier est exceptionnel et son palmarès est brillantissime dès son plus jeune âge.

Né en France en 1989, Dimitri Bouclier débute l'accordéon à l'âge de 7 ans, fait ses débuts de soliste en récital et est invité en 1ère partie de grands concertistes (M-A. Nicolas, F-R. Duchable, P. Soave, A. Skliarov, C. Thomain, ...) dès l'âge de 10 ans.

Il étudie l'accordéon auprès de son père, Thierry Bouclier, directeur de l'Ecole d'accordéon d'Annemasse et du Genevois et de M. Jacques Mornet, au CNIMA à Saint-Sauves en Auvergne.

A partir de 2000, il remporte différents concours internationauxl.

En mars 2008, il remporte le prix international de Montrond-les-Bains en catégorie concertiste senior. En octobre 2008, à seulement 19 ans, il est lauréat des plus grandes compétitions internationales d'accordéon de concert dans la catégorie senior dont Klingenthal, Premio di Castelfidardo, Coupe Mondiale à Glasgow et 1er prix à l'unanimité au Trophée Mondial à Sarajevo.

Il rejoint ainsi les très rares accordéonistes à avoir remporté le Trophée Mondial en catégorie Junior et Senior Classique (2ème français après Richard Galliano).

 

Julien Bouclier au Violon:

 

Il débute l'étude du violon au Centre de Pratique Musicale d'Annecy (CPMA) avec Josiane Brachet et à partir de 1997, il sera élève de Veda Reynolds (Curtis Institute) durant 5 ans.

Depuis 2000, il devient élève de Marie-Annick Nicolas.

Après avoir remporté des prix dans des concours nationaux (Nérini, Concours national du Jeune Interprète), il entre dans la classe de DEM de Priscille Reynaud au Conservatoire de Bourg en Bresse, DEM (Diplôme d’Etude Musicale) qu’il obtiendra l’année suivante.

 Il suit également l'enseignement de Dominique Lonca (CNSM de Lyon, Quatuor Debussy), les masterclass de Gyula Stuller, et en 2006 devient élève de Jean Ter Merguerian.

 En juin 2007, il entre à l’unanimité du jury à la Haute Ecole de Musique de Genève où il obtiendra le diplôme de concertiste et musicien d'orchestre avec mention (Master of Arts in Music Performance) dans la classe de M-A. Nicolas ainsi qu'un certificat d'écriture Contrepoint et Fugue mention très bien.

 En 2008 et 2009, il est pris comme stagiaire à l’Orchestre Symphonique de Bienne.

 

Passionné par la pédagogie, il est actuellement en Master de Pédagogie à la HEM de Genève et professeur de violon au Conservatoire de Saint-Claude.

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 21:20

 

Dimanche 18 Décembre 2011

17H 

 

Marionnettes

 

Compagnie du Jabron Rouge

Mademoiselle PAS ASSEZ


Mademoiselle n’est pas contente : elle n’a pas assez de jeux.
Sa chambre en est pleine mais il lui manque un « poutrak ». Ca ne va pas !
Elle ne sait pas ce que c’est, mais tous ses amis y jouent. Il faut qu’elle en trouve un.
Son père n’est pas d’accord : il l’enferme dans la tour et laisse sa fille pleurer à la fenêtre.

Un vieil ange-gardien passe et accepte de l’emmener dans sa machine volante.
Arrivée devant la Fabrique, Melle doit ruser avec la redoutable gardienne pour y entrer.

Dans les ateliers, Melle va alors rencontrer trois ouvriers devant leurs machines : est-ce qu’ils font des poutraks ?
Melle n’est pas assez prudente. En touchant aux trois machines elle va devenir tour à tour trop petite, trop grosse et trop grande. Catastrophe ! L’ange-gardien viendra-t-il l’aider ?

Quant au poutrak : vous pourrez tous y jouer à la fin !


+++++

L’histoire, entre réalité et imaginaire, aborde deux inquiétudes fortes pour les enfants :
« J’en ai pas assez » et « Je ne suis pas assez ».

Les thèmes développés dans l’histoire :
la surconsommation (on en veut toujours plus)
 le travail à l’usine (trois ateliers : trois ambiances de travail bien réelles)
 le monde imaginaire (intervention d’un ange gardien et magicien)


Huit marionnettes à gaine évoluent dans un impressionnant castelet à plusieurs niveaux.
Il y a des portes qui claquent, des poulies qui grincent, un ascenseur qui clignote, des pistons qui écrasent, des billes qui dégringolent, un tapis roulant qui bouge, un compteur qui tourne,
une machine volante qui circule...

Tous les sons sont en direct :
La marionnettiste interprète les voix des huit personnages.
La musique est jouée sur un piano-jouet et des chimes.
Les divers accessoires et machines produisent toutes sortes de bruitages.



Texte, création des marionnettes, mise en scène,
                                                           manipulation et interprétation : Nathalie ROQUES
Scénographie, réalisation du décor,
                                  des accessoires, des lumières et des bruitages : René DELCOURT
Aide à l’écriture et à la mise en scène : Johanny BERT

Melle-et-Joel-photo.jpg

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14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 14:54

Le TEM présente Mon Isménie, d'Eugène Labiche.

Vendredi 18 Novembre 2011 à 20h30.

 

Avec :Nathalie Fort, Vincent Tessier, Laurent Bonnal, Valérie Baudouin, Alexandra Re.

Mise en scène : Yves Faure

Crétaion lumière  : Roland Biessy

 

 

Le TEM, pôle départemental d'enseignement théâtral depuis 2007, et son directeur Yves Faure est aussi un lieu de création. Mon Isménie, d'Eugène Labiche a été crée en févrer 2011 à Saulce.

 

 

 

La presse a dit :

 

presse_labiche.jpg

Tarifs : adultes 10 eruos,

enfants gratuit jusqu'à 12 ans

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 17:04

VENDREDI 14 OCTOBRE

« Le gai savoir de l’acteur »

Texte de Dario Fo

Par la Cie Barayre.

 

DSC_4624.jpg

 

 


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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 17:46

et oui c'est parti

 

Saison 2011-2012 :

 

groupe des enfants le mercredi de 10h30 à 12h : ils sont 7 enfants du CE1 au CM2, dynamiques. Parmi eux, 3 sont des "anciens" des ateliers de Cahrols, les autres débutants.

 

Ado mercredi de 18h15 à 19h15 : ils sont 6 : 3 filles et 3 garçons, l'idéal !!! et en plus ils ont envie de s'investir. Certains sont déjà venus aux ateliers (3, les autres débutants ou venant d'autres ateliers).

 

Adultes : mercredi de 20h à 21h 30 : 4 adutes, répartition idéale aussi, avec 2 hommes et 2 femmes, tous débutants.

 

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